Lewis Carroll & Nicole Claveloux
L’album événement de Nicole Claveloux, 45 ans après sa célèbre version des Aventures d’Alice au pays des merveilles !


L’univers que Nicole Claveloux a créé autour des Aventures d’Alice aux Pays des Merveilles, dans l’édition publiée chez Grasset-Jeunesse en 1974 avec François Ruy-Vidal et Bernard Bonhomme, est entré dans la lignée des grandes interprétations graphiques de l’œuvre de Lewis Carroll initiée par John Tenniel. 45 ans après, elle illustre avec autant de talent la suite du texte de Lewis Carroll : un magnifique miroir à son travail entré dans la légende des Alice in Wonderland !
Déjà perçues en 1974 comme étant d’une modernité incontestable, les illustrations de Nicole Claveloux, à la fois lumineuses, poétiques, et insolites, continuent à nous entraîner avec autant d’aisance dans les méandres de ce chef-d’œuvre de l’antilogique écrit par un grand mathématicien et dont Henri Parisot, de par ses affinités avec le surréalisme, est certainement le meilleur traducteur.
NICOLE CLAVELOUX a fait ses études aux Beaux-Arts de Saint-Etienne, avant de s’installer à Paris puis en Bretagne, où elle vit actuellement. Après avoir dessiné des bandes dessinées et illustré de nombreux journaux, elle collabore dès 1966 avec les éditeurs Harlin Quist et François Ruy-Vidal, ainsi qu’avec Bernard Bonhomme, avec qui elle travaille pour la publicité et illustre plusieurs albums. Son œuvre, qui réunit plus d’une soixantaine d’ouvrages, a été l’objet de plusieurs études critiques, comme « Nicole Claveloux et Compagnie » de Christian Bruel, qui accompagnait une somptueuse exposition consacrée à l’ensemble de son œuvre. Ses illustrations font l’objet de nombreuses expositions.
ON EN PARLE ! ● Potins enfantins : « Une délicate invitation où poésie et fantaisie accompagneront le lecteur de « l’autre côté du miroir ». » ● Fabienne rêve : « Un conte magique, où nous faisons de multiples rencontres ou nous vivions de drôles d’aventures pour ne pas dire bizarres… » ● France Info : « Nicole Claveloux avait déjà donné sa version d’Alice au pays des merveilles en 1974, elle illustre ici la suite du texte de Lewis Carroll, traduit par Henri Parisot, avec toujours autant de poésie, d’originalité et de finesse. » ● Bruxelles Culture : « D’une jolie modernité, le dessin se targue de poésie, de générosité et d’éléments insolites qui contribuent à aider à percevoir un monde étrange entre chimères et fantasmes. » ● Chouette, un livre ! Le blog de Madame la Chouette : « Ce texte étonnant sera d’autant plus apprécié des enfants qu’il leur sera lu par un adulte, qui saura prendre le temps de commenter les épisodes les plus complexes. Les joueurs d’échecs seront ravis de lire la préface de Noël 1896, avec l’explication de la partie imaginée par Lewis Carroll ! La qualité des illustrations et de la fabrication justifie le prix de cet album, grand classique s’il en est de la littérature de jeunesse anglo-saxonne. » ● Mémoire des Arts : « Offrez ce sublime album à vos enfants, ou à vous-même, vous le relirez avec joie. » ● A vos marques… Tapage ! : « Nicole Claveloux nous offre sa sublime version de la suite des aventures d’Alice, en nous invitant de l’autre côté du miroir : l’univers surréaliste et parfois bien sombre de Lewis Carroll ne pouvait trouver meilleure ambassadrice que cette reine de cœur pour sublimer son œuvre ! Attention, chef-d’œuvre ! » ● Boojum : « les magnifiques illustrations de Nicole Claveloux interviennent : elles mettent en valeur ce texte et nous servent de guide page après page. Remplies de poésie, ces images nous transportent hors du temps ou plus exactement au temps de l’enfance où rien n’est impossible. Elles sont la véritable valeur ajoutée à l’histoire. Une fois de plus les choix éditoriaux des éditions Grasset montrent que les enfants n’ont pas à se contenter des éditions de poche. » ● Radio Aligre : « En 1974, Nicole Claveloux, illustratrice pionnière de l’avant-garde graphique des années 60, publiait chez Grasset un Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll, qui a fait date. Voici que cette année, 45 ans plus tard, elle illustre, toujours chez Grasset, la suite des aventures d’Alice : De l’autre côté du miroir et ce qu’Alice y trouva, dans la traduction, elle aussi très reconnue, de Henri Parisot. Même grand format, même type de couverture intrigante, et à l’intérieur de grandes planches en couleur, ou en noir et blanc, au fil des 140 pages, avec quelques cabochons qui viennent alléger les longues pages de texte. On retrouve, bien sûr, son style percutant, avec ses personnages atypiques, goguenards, loin du classicisme de l’illustrateur d’origine John Tenniel. » ● 24 heures : « L’album fit sensation ; il se range désormais dans les classiques de la littérature jeunesse. Près d’un demi-siècle plus tard, l’Auvergnate donne suite sans jamais donner l’impression d’une rupture, tant « De l’autre côté du Miroir et ce qu’Alice y trouva » échappe au carcan temporel. » ● Ma famille zen : « Un album jeunesse peut-être un peu ardu pour les plus jeunes, qui le liront accompagnés d’un adulte. Très peu d’illustrations, mais des illustrations en couleur ou en noir et blanc magnifiques, qui illustrent parfaitement l’univers onirique d’Alice au Pays des Merveilles. » ● Lucie & Co : « Du grand Claveloux ! On reconnaît ici un air de « Dedans les gens », là des amateurs de bisous et c’est régalant. « Je n’ai jamais mis de barrières entre les dessins pour enfants et adultes », explique Nicole Claveloux. « Lorsque je dessine, je ne me pose pas de questions. Jamais je ne me suis dit : ce dessin est spécialement conçu pour les enfants. Mais il existe des lectures à plusieurs niveaux, non ? » ● Journal liberté Hebdo : « Décors, détails, attitudes et mouvements sont magnifiés par des illustrations en quadrichromie ou en noir et blanc, pleine page ou incluses dans le texte, d’une inventivité telle que le plaisir de lecture, impatient d’être comblé, s’épanouit, sans cesse relancé. Ouvrant les paupières du rêve, l’album éblouit enfants et parents, un vrai bonheur. » ● Arple : « (…) 45 ans après avoir illustré Alice, Claveloux nous livre son interprétation en cet univers onirique. Elle exprime avec aisance les difficultés d’Alice avec un chemin « en tire-bouchon » à la Max Eschner, les contorsions de Tweedledeume et son comparse, l’invraisemblable maladresse du Cavalier blanc, caricature de Lewis Caroll, gaucher, gauche et bègue… » ● La revue des livres pour enfants : « (…) 45 ans après la publication d’Alice aux pays des merveilles illustré par Nicole Claveloux, l’illustratrice nous offre le second texte de Lewis Carroll illustré. Même grand format, plusieurs similitudes dans la mise en page avec notamment les titres de chapitres perpendiculaires au texte, texte moins accessible pour les jeunes lecteurs, moins connu mais même esprit dans l’illustration. » ● Libby lit : « Du temps de François Ruy-Vidal, ce précurseur de la littérature moderne pour la jeunesse avait sollicité en 1974 l’exceptionnelle Nicole Claveloux pour dépoussiérer la célèbre Alice. Cette grande dame reste 45 ans après toujours aussi moderne avec cette suite à Alice, écrite en 1871. Cette fois, Alice décide de passer de l’autre côté du miroir et d’y croiser scarabée, bouc, lion, licorne et de bien d’autres. Une fois de plus, Alice nous entraîne dans des épisodes qui se déroulent sur un échiquier où tout est fait pour faire perdre Alice. Nicole Claveloux joue avec le non-sens et l’humour anglais qui lui va comme un gant. Un classique qui sera autant apprécié si même pas plus, par les adultes et grands lecteurs. J’avais heureusement dans ma bibliothèque « Les aventures d’Alice au pays des Merveilles » et donc en comparant les 2 œuvres, cette suite s’inscrit en totale complémentarité : même esprit, même logique surréaliste. J’ajoute que j’apprécie dans l’album actuel la qualité du papier et le choix des caractères. Bravo, un album qui rentrera dans l’histoire de l’illustration. (Al.De) » ● Klesia : « 45 ans après sa saisissante version des Aventures d’Alice, Nicole Claveloux nous offre, dans le même grand format carré et avec le même talent, désormais poli par le temps, la suite de l’histoire imaginée par Lewis Carroll. De nouveau, les illustrations jouent à merveille la partition de l’inventivité et offrent des clés qui font sens. Un livre événement pour offrir aux enfants le meilleur de la littérature : parce que les grands auteurs méritent de grands artistes. »